Au drive du mcdo, il prend une amende de 400€ pour son téléphone!

Dans un incident qui souligne la rigueur des lois sur l’utilisation des téléphones cellulaires au volant, un jeune Canadien de 18 ans a été frappé d’une amende de 400 euros alors qu’il se préparait à commander au drive d’un McDonald’s via son application mobile. Cet événement, qui a eu lieu le 13 mai dernier à Saskatoon, illustre les complications potentielles des règlements modernes concernant la technologie au volant, même dans les circonstances apparemment banales d’une file d’attente dans un fast-food.

La Commande qui Tourne au Cauchemar

Mason, le jeune homme en question, avait l’habitude d’utiliser son téléphone pour passer des commandes via l’application McDonald’s, profitant des points de fidélité pour obtenir des repas gratuits. Cependant, ce qui était une routine habituelle s’est transformé en un scénario coûteux lorsque, en attente dans la file du drive, il a été surpris par un policier à moto qui l’a immédiatement verbalisé pour utilisation de téléphone au volant.

Les Détails de l’Incident

Selon les rapports, alors que Mason était arrêté dans la file, il a été approché par le policier qui, après avoir observé l’utilisation du téléphone, n’a pas hésité à lui infliger une amende. Mason a tenté de justifier son action en montrant qu’il chargeait un code pour un repas gratuit via l’application de McDonald’s, mais ses explications n’ont pas suffi à dissuader l’officier de la nécessité de l’amende. La police a insisté sur le fait que l’infraction avait eu lieu alors que le véhicule de Mason se trouvait sur une voie publique, ce qui justifiait l’application stricte de la loi.

Répercussions et Contestation de l’Amende

Choqué par la sanction qu’il considère disproportionnée, Mason a exprimé son intention de contester l’amende devant les tribunaux. Une audience est prévue pour le 31 juillet, où il espère que sa situation sera réévaluée et que l’amende sera annulée. Cette affaire met en lumière les défis que rencontrent les conducteurs jeunes et moins expérimentés face à des lois qui peuvent parfois sembler déconnectées des réalités de la technologie moderne et de son utilisation quotidienne.

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